Serena Williams n’a pas été « abandonnée » par ses commanditaires à la suite de son comportement inapproprié en demi-finale des Internationaux de tennis des États-Unis.
La plupart des spécialistes en marketing sportif s’entendent pour dire que la star de la raquette Serena Williams ne devrait perdre aucun de ses contrats publicitaires à la suite des menaces qu’elle a proférées à une juge de lignes en demi-finale des Internationaux de tennis des États-Unis.
Un peu plus d’une semaine après les propos inappropriés de l’Américaine sur le court central et devant les caméras de télévision, aucun de ses commanditaires n’a demandé à résilier son entente. Deux partenaires ont même publié des communiqués pour réitérer leur confiance envers la no 2 mondiale.
Williams, dont les émoluments à l’extérieur des courts sont évalués à 12 M$ US par an, est associé à Nike, Wilson Sporting Goods Co., Hewlett-Packard et Gatorade.
Elle est aussi propriétaire d’une ligne de vêtements – Aneres – dont elle est la principale dessinatrice.
Kraft Foods, qui l’a embauchée (avec sa sœur Venus) pour affronter les frères Eli et Peyton Manning dans une publicité télévisée (Oreo Double Stuff Racing League), a décidé de ne pas en faire un plat. Le porte-parole de l’entreprise, Basil Maglais, a dit que « nous sommes heureux que Serena Williams ait reconnu son erreur et nous continuerons de travailler avec elle ».
Pour sa part, Nike a rappelé que Williams s’était excusée presque immédiatement après sa saute d’humeur (en fait, il a fallu près de deux jours). « Nous demeurons avec elle et croyons qu’elle a encore de bonnes performances à offrir d’ici à la fin de sa carrière. »
« Je ne crois pas que cela aura une incidence négative à long terme sur son attractivité, a confié Bob Dorfman, de la firme Baker Street Advertising, à AdAge.com. Tout au plus ses commanditaires actuels pourraient être tentés de limiter ses apparitions en attendant que la poussière retombe sur cet incident malheureux. »
Dorfman croit par ailleurs que de nouvelles offres de sponsors pourraient se pointer pour Williams si une société d’anti-transpirant, de thé aux herbes, de matelas ou d’un autre produit favorisant la relaxation décidait de lancer une campagne promotionnelle…
Un peu plus d’une semaine après les propos inappropriés de l’Américaine sur le court central et devant les caméras de télévision, aucun de ses commanditaires n’a demandé à résilier son entente. Deux partenaires ont même publié des communiqués pour réitérer leur confiance envers la no 2 mondiale.
Williams, dont les émoluments à l’extérieur des courts sont évalués à 12 M$ US par an, est associé à Nike, Wilson Sporting Goods Co., Hewlett-Packard et Gatorade.
Elle est aussi propriétaire d’une ligne de vêtements – Aneres – dont elle est la principale dessinatrice.
Kraft Foods, qui l’a embauchée (avec sa sœur Venus) pour affronter les frères Eli et Peyton Manning dans une publicité télévisée (Oreo Double Stuff Racing League), a décidé de ne pas en faire un plat. Le porte-parole de l’entreprise, Basil Maglais, a dit que « nous sommes heureux que Serena Williams ait reconnu son erreur et nous continuerons de travailler avec elle ».
Pour sa part, Nike a rappelé que Williams s’était excusée presque immédiatement après sa saute d’humeur (en fait, il a fallu près de deux jours). « Nous demeurons avec elle et croyons qu’elle a encore de bonnes performances à offrir d’ici à la fin de sa carrière. »
« Je ne crois pas que cela aura une incidence négative à long terme sur son attractivité, a confié Bob Dorfman, de la firme Baker Street Advertising, à AdAge.com. Tout au plus ses commanditaires actuels pourraient être tentés de limiter ses apparitions en attendant que la poussière retombe sur cet incident malheureux. »
Dorfman croit par ailleurs que de nouvelles offres de sponsors pourraient se pointer pour Williams si une société d’anti-transpirant, de thé aux herbes, de matelas ou d’un autre produit favorisant la relaxation décidait de lancer une campagne promotionnelle…
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